Algérie – Azzedine Mihoubi, candidat à la présidentielle, a affirmé dans un entretien accordé à Al Arabiya, paru ce mercredi, qu’il était un commis de l’Etat. Par conséquent, il n’est affidé à personne…
Lors de cette sortie médiatique, l’ancien ministre de la Culture a fait la promotion de son programme électoral. Notamment les quinze engagements préalablement annoncés, et qui, selon lui, concerne directement le citoyen. Sur sa relation avec l’ancien président, Abdelaziz Bouteflika, a affirmé qu’il avait, avant tout, travaillé avec trois présidents. « J’ignore les raisons qui lient entre mes attributions au niveau étatique et la période de l’ancien président, Abdelaziz Bouteflika », s’est-il interloqué.
Sur le hirak, Azzedine Mihoubi a exprimé son admiration à ce mouvement qui perdure, d’après lui, dans certaines régions. « Toutes les revendications ont été satisfaites, sauf une seule, en l’occurrence l’article 8 (de la Constitution). Elle le sera le 12 décembre prochain », a-t-il ajouté. Enfin, le candidat à la présidentielle a abordé la question des relations entre l’Algérie et la France. Il a réclamé, dans ce sens, à la partie française plus d’efforts sur certains dossiers.
Comme par hasard là majorité de nos hommes politiques se sont des mythomanes, des ripoux, des traîtres, et bons à rien sauf pour corrompre magouiller et détourné