Par Imen.H :
Dans une conférence de presse animé hier à la maison de la presse TaherDjaout « , la veuve de M.Kheireddine Ameyar l’un des fondateur du journal » La Tribune » où elle fait révélation pour éclairé l’opinion publique sir les tenants et les aboutissements de l’affaire de liquidation du titre en question. Maitre Ben Hamouda, avocat de Mme Ameyar, a expliqué que après le décès de Kheireddine Ameyar , la famille Amryar a pris attache avec la société pour pouvoir rentré dans le capital de la société. La SARL devait consulter l’ensemble des associer. L a consultation a é réorganisé en 2001, ou la majorité des associer avait refusé l’agrément aux héritiers Ameyar, mais elle n’a rien fait dans le délai de trois mois. A cette effet, 2004 la famille Ameyar avait introduit une demande pour obtenir l’agrément par voix judicaire » on avait demandé à la justice de constaté que la société avait refusé l’agrément mais elle n’avait rien fait dont le délai prévus par la loi, qui était de 3mois « . Après 6ans de procédure les héritiers Ameyar ont obtenus l’agrément par voix judicaire. Juste après, un acte de dépôt a été déposé chez un notaire, suite à cela, les héritiers ont intégrées à la société. Il est à noter que le défunt Kherdinne Ameyar détenait 40 part sur 100, du capital ce qui représente 40%, ces derniers ont été transférer aux héritiers Ameyar, à savoir, Mme Ben Amer Taous, ses deux enfants Maya et Ndjib, et ses parents. D’autre part, un des associer qui est Belkaid Akram, qui détenait 6 part dans l’ONP, a cédé ses part sociale à Mme Ameyar et à ses enfants en 2000. » Donc la famille Ameyar détient actuellement 46% du capital de l’OMP « . » Nous avons réclamé le bénéfice de 2007 jusqu’à 2011, ou nous avons constaté que la société avait réalisé 230 millions de Dinars de bénéfice « . » Pout quoi n’ont t-il pas été réinjecté puisque l’OMP était déjà en difficulté « , s’est interrogé Mme Ameyar. D’autre part, la veuve a fait savoir que son seul souci était de sauver » le titre perdu « . » On n’a jamais demandé la dissolution d’une entreprise devant un juge de référés. Les associés minoritaires n’ont pas le droit d’arrêter le journal « . Egalement, elle a fait savoir qu’aucune décision juridique n’existe pour la nomination d’un liquidateur. En septembre nous allons demander une assemblée générale extraordinaire pour nommer un nouveau gérant. Ce qui nous permettra de ne pas mourir le journal ! » Nous avons jamais, demandé la fermeture, ou la liquidation de la Tribune, parce que c’est un titre qui à de la valeur après la mort de mon défunt Kherdindine Ameyar « , a souligné la conférencière. Ajoute, telle, » nous avons simplement revendiqué notre droit légitime, sur une gestion contestable « . Il est important de rappelé, qu’après la mort du fondteur du titre La Tribune, l’OMP avait refusé d’agréer les héritiers Ameyar comme des associés. D’autre part ; Mme Amyer a affirmé que toute la famille Ameyar a été mise à l’écart, et qu’ils non jamais assisté aux assemblé. En Outre, Mme Ameyar a saisis l’occasion pour exprimé sa solidarité au collectif du journal, elle a aussi dénoncé le traitement brutal dont il a fait l’objet, Dans un but de s’opposer à la décision de liquidation de l’entreprise, Mme Taoues Ameyar a introduit hier matin une intervention volontaire auprès de juge de référés afin de faire partie de cette action, et de considérer que leur avis est primordial pour l’opposition à la liquidation de l’entreprise. Enfin l’épouse de Kheiddine Amyer a tenu à réconcilier l’ensemble des travailleurs du quotidien La Tribune qu’elle est prête à prendre toues les actions nécessaires pour la continuité de leur journal. Par ailleurs, elle n’a pas manqué de solliciter le personnel du journal afin qu’il reprenne le travail et aux associer minoritaires de mettre un arrêt aux abus judicaires tout en les invitons à trouver une solution ensemble.
I.H.
Source : tribunelecteurs
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