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Algerie7
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L’odeur du mouton se fait rare dans les grandes villes : La canicule fait écran à l’Aïd El Adha

by Metsoul Fekoune
23/09/2017
in Societe
Reading Time: 3min read
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A quelques trois semaines de l’Aid El Adha, l’odeur du mouton dans nos villes et villages et les spectacles d’enfants jouant avec ces bêtes, ne sont toujours pas à l’ordre du jour. Il faut croire que pour cette année, les Algériens ne semblent pas trop pressés de voir venir l’un des principaux rendez-vous religieux, fêté dans l’allégresse, la bonne humeur et un fort esprit de solidarité. Cet état de fait s’explique d’abord par la canicule qui sévit dans l’ensemble du territoire national. On voit en effet, mal l’exposition de troupeaux d’ovins dans les conditions climatiques presque extrêmes que vivent la quasi-totalité de nos villes et villages. Ni les clients, ni les maquignons et encore moins leurs moutons ne peuvent supporter une longue exposition au soleil. La chaleur a donc créé dans tout le pays une sorte de réflexe en faveur de l’attente de jours meilleurs.
L’autre facteur susceptible d’expliquer la «froideur» du marché, tient au fait que de très nombreuses familles algériennes sont actuellement en vacances. L’esprit est encore assez loin de la fête, bien que l’intérêt va se manifester dans les tout prochains jours. Ainsi, canicule ou pas, l’Aid El Adha imposera sa logique au Algériens à partir du 15 août, affirment des éleveurs soulignant que traditionnellement le marché à bestiaux de l’Aïd s’anime généralement une quinzaine de jours avant l’avènement de la fête religieuse. Cette perspective est bien notée dans l’agenda des pouvoirs publics. En effet, le ministre de l’Agriculture et du développement rural a annoncé, à partir de Djelfa, la réunion hier, au niveau de son département à l’effet de décider de toutes les mesures nécessaires pour garantir un déroulement dans les meilleures conditions possibles de la fête religieuse. Parmi les décisions les plus attendues par les maquignons et pères de famille, figurent en tête de liste, les points de vente prévus dans les grandes villes. La non désignation de ces marchés temporaires est, en fait, l’un des facteurs qui a retardé l’ambiance typique de l’avant-Aid El Adha.
Cela étant, les pouvoirs publics sont également dans l’obligation d’assurer un bon contrôle sanitaire des bêtes, missions dévolues aux inspections vétérinaires.
Il reste que le plus important facteur de l’équation de l’Aid El Adha qui n’est autre que le coût de la bête, n’est pas encore totalement fixé. Pour l’heure, les prix des ovins servant aux mariages varient de 35.000 DA à 55.000 Dinars et plus. Cette fourchette pourrait évoluer dans un sens comme dans l’autre. Les connaisseurs du marché soulignent une certaine stabilité des prix, annonçant des prix quelques peu raisonnables. En tout cas, personne ne prévoit une flambée et tous s’accordent sur une légère hausse par rapport à l’année passée, même si quelques maquignons qui n’excluent pas une baisse du marché par rapport à l’année dernière. Les raisons de cette conclusion sont à chercher dans la canicule, les vacances et la trop grande proximité de la rentrée sociale. Autant de facteurs qui imposent un agenda très serré, de sorte à ce que les maquignons ne disposeront pas d’assez de temps de négocier les prix à la hausse. «Il va nous falloir tout vendre en un laps de temps assez court» affirme un éleveur de l’intérieur du pays.
En tout état de cause, l’Aïd El Adha, dans sa version 2017, ne sera pas aussi mauvais que celui de l’année dernière, allusion à la putréfaction de la viande, et pas plus chère. La promesse d’une fête heureuse pour boucler la période des congés, pourrait être tenue.

Alger: Smaïl Daoudi

Source : ouestribune-dz

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