Depuis le décès de Mohamed-Seghir Babès le 7 mars dernier, le poste de président du Conseil national économique et social (Cnes), une institution consultative dépendant de la présidence de la République, est resté vacant. Depuis, d’après certaines sources, une véritable guerre des coulisses est engagée par des prétendants qui seraient fort nombreux. Parmi eux, un ex-ministre du dernier exécutif et un universitaire, consultant international, se présentent en favoris.
Source : liberte-algerie
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